2003 Oecuménisme 444

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Partage de l'eucharistie.

Les n. 122-131 rappellent la doctrine d' UR 8 UR 14-15 et les traductions canoniques qu'en a faites l'important CIC 844 Par. 2-5. Le n. 129 , en particulier, rejoint exactement la Note sur l'hospitalité eucharistique publiée par l'épiscopat français le 14.3.1983, et confirme notre pratique en ce domaine.
Mais il apparaît que la pratique française n'est pas en tout point conforme au CIC 767 Par. 1 que rappelle le n. 134 : "Pour la liturgie eucharistique catholique, l'homélie, qui fait partie de la liturgie elle-même, est réservée au prêtre ou au diacre". Ce que nous avons pris l'habitude d'appeler "échanges de chaire" ne devrait avoir lieu dans nos célébrations catholiques qu'à des "célébrations de la parole" ou des assemblées de prière non eucharistiques...

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Mariages mixtes.

Les n. 143-160 pour tous les pays du monde confirment ce que le Directoire de discernement concernant les engagements et la vocation des foyers mixtes, publié par le Conseil permanent en 1980, pour la France, avait précisé. Nous sommes invités à ne pas oublier l'affirmation du Directoire universel: "En tout mariage, la préoccupation première de l'Eglise est de maintenir la solidité et la stabilité du lien conjugal indissoluble et de la vie familiale qui en découle" n. 144 . Le n. 145 cite aussi de très belles affirmations de l'exhortation apostolique FC 78.
Mais le n. 150 , s'appuyant sur le CIC 1125, rejoint ce que disait le Directoire de discernement français demandant à la partie catholique de "promettre sincèrement de faire son possible pour que tous les enfants soient baptisés et éduqués dans l'Eglise catholique". Ce n. 150 est à recevoir avec toutes les nuances que comportent ses trois alinéas. Il ne peut encourager les régions apostoliques qui avaient composé des formulaires de "déclaration d'intention", personnelle ou commune, divergents par rapport à ceux promulgués par l'assemblée plénière de Lourdes (octobre 1970), ou par l'Entretien pastoral en vue du mariage (Edition de 1990, p. 119-137). On ne devrait donc pas persévérer dans l'utilisation ou la publication de ces formulaires incompatibles avec le droit canon de 1983 et le Directoire de 1993, sans pour autant ignorer les nuances rappelées au n. 150 .

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La collaboration entre Eglises.

En France, nous ne pouvons être que particulièrement sensibles à la coïncidence de nos pratiques en ce domaine avec ce qui est préconisé dans le Directoire qui vient de paraître. Cela est vrai du Conseil d'Eglises chrétiennes et de sa charte du 17.12.1987 (à comparer avec les n. 166-171 ), des comités mixtes bilatéraux (cf. n. 177-182 ). C'est également vrai de la publication commune de la Traduction oecuménique de la Bible (TOB), dès 1972, et du travail biblique commun (cf. n. 183-186 ). C'est vrai aussi de la traduction oecuménique du Notre Père et du Psautier liturgique, ainsi que des efforts actuels pour une traduction oecuménique du Symbole des apôtres et du Credo de Nicée- Constantinople (cf. n. 187 ) ou de notre collaboration dans le domaine de la catéchèse n. 188-190 .
Le Directoire encourage l'ouverture à l'enseignement oecuménique dans les séminaires, les facultés catholiques, les instituts d'enseignement supérieur ou les instituts de recherche, telle que nous la vivons depuis le Concile, en France (cf. n. 191-203 ), dans la participation aux tâches missionnaires d'évangélisation comme le souhaitaient AGD 6 AGD 15 EN 77 (cf. n. 205-209 ). Le Directoire n'est pas ignorant de nos efforts de dialogue interreligieux n. 210 . Il encourage la participation aux efforts pour faire face aux problèmes sociaux, éthiques et culturels de notre temps. Le développement et la sauvegarde de la création n. 211-215 , les recherches médicales n. 216 , les programmes communs de radio et de télévision n. 217 sont autant d'exemples cités de cette collaboration oecuménique positive.
Ce Directoire mérite une étude attentive à tous les niveaux dans notre Eglise. Il devrait stimuler vivement tous les catholiques de France, et leurs frères chrétiens qui voudront bien en accueillir l'esprit et le texte, dans une avancée vers l'unité des disciples du Christ, mort pour rassembler dans l'unité les enfants de Dieu que le péché de nos divisions a dispersés, et ressuscité pour le salut de tous les hommes.
La Lettre aux évêques de l'Eglise catholique sur certains aspects de l'Eglise comprise comme communion, qui avait paru en juin 1992, est à replacer et à lire dans le contexte intégral du Directoire publié sur l'ordre du pape, un an après, et revêtu de son approbation.



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L'HOSPITALITE EUCHARISTIQUE AVEC LES CHRETIENS DES EGLISES

ISSUES DE LA REFORME EN FRANCE

Note de la Commission Episcopale pour l'unité des chrétiens aux prêtres et aux fidèles catholiques, 14.3.1983

Depuis quelques années (*), les cas d'hospitalité eucharistique entre catholiques et chrétiens des Eglises issues de la Réforme en France tendent à devenir plus nombreux. Le désir légitime de l'avancée oecuménique ne peut cependant faire oublier qu'ils posent à la conviction de l'Eglise catholique des problèmes non seulement disciplinaires, mais encore de l'ordre de la foi. C'est pourquoi la Commission épiscopale pour l'unité des chrétiens estime important de répondre à des questions souvent posées à leur sujet par les réflexions suivantes.

(*).(Cette note était accompagnée de la présentation suivante: "En 1964, le concile du Vatican (Décret sur l'oecuménisme) et en 1967, le Secrétariat romain (Directoire pour les questions oecuméniques, complété dans les années suivantes par diverses notes) ont fixé pour l'Eglise universelle les normes de la pastorale oecuménique, que les évêques ont la charge d'appliquer dans la vie concrète des diocèses. La présente note de la Commission épiscopale pour l'Unité des Chrétiens, approuvée par le Conseil permanent du 14 mars, relève de ce souci. Elle veut éclairer les prêtres et fidèles catholiques sur un point très précis: l'hospitalité eucharistique avec les chrétiens des Eglises issues de la Réforme. On peut à cet égard souligner trois aspects importants: - 1. En ce domaine très délicat, la Commission a la triple préoccupation de l'Eglise universelle, de la conjoncture présente en France (vie concrète des Eglises et questions posées par les catholiques) et de ce qui se cherche dans d'autres Eglises particulières (référence au Synode allemand). - 2. Par la force des choses, le libellé de la note est complexe, mais son sens est donné par deux affirmations (qu'on ne saurait séparer l'une de l'autre sans trahir le sens du texte), exprimées par les deux sous-titres: l'hospitalité eucharistique ne peut pas être habituelle; elle peut être envisagée dans certains cas exceptionnels.; - 3. Interpréter cette note en termes d'ouverture ou de blocage serait en méconnaître l'esprit. Elle veut favoriser un discernement juste de cas particuliers, dans une dynamique d'émulation spirituelle, à partir du dialogue de fond qui est engagé avec les Eglises de la Réforme en France, comme le souligne le dernier paragraphe".)

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L'hospitalité eucharistique ne peut pas être habituelle

- 1. Parce que l'eucharistie est le repas du Seigneur, et qu'elle ne nous appartient pas. Le Nouveau Testament nous montre qu'elle est partagée par ceux qui ont reçu le même baptême et vivent dans la communion visible de la même foi Ac 2,42-47 De même, Paul rappelle vigoureusement aux Corinthiens 1Co 11,17-34 le lien nécessaire entre la communion vécue dans l'assemblée ecclésiale et la fraction du pain. Le "discernement du corps du Seigneur" concerne à la fois son corps eucharistique et son corps ecclésial. Pour sa part, la tradition de l'Eglise indivise a toujours fait de la communion à la même foi ecclésiale la condition de la participation à la même eucharistie.

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- 2. Parce que la communion eucharistique et la communion ecclésiale sont indissociables: l'Eglise fait l'eucharistie et l'eucharistie fait l'Eglise. Le corps eucharistique du Christ est ordonné à la construction de son corps ecclésial. La communion à la même eucharistie engage donc la communion à la même Eglise, de même qu'elle suppose le partage de la même foi.
La question de l'hospitalité eucharistique ne peut donc être abordée dans la seule perspective des besoins spirituels individuels ou des liens de fraternité existant entre des groupes limités. Seule la réconciliation entre les Eglises aujourd'hui divisées peut rendre normal l'accueil mutuel à la table de l'eucharistie qu'elles célèbrent.

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- 3. Parce que ce n'est pas seulement la foi en l'eucharistie qui est engagée à ce propos, mais l'ensemble de la foi. Or malgré les substantielles avancées doctrinales actuelles, dont nous nous réjouissons, des points sérieux de contentieux dans la foi demeurent; en particulier, certains aspects de la doctrine eucharistique (présidence par un ministre ordonné; permanence de la présence sacramentelle) et des ministères (leur rôle propre dans la structure de l'Eglise; l'ordination), la place et le sens de la sacramentalité dans la vie chrétienne et plus globalement la compréhension du mystère de l'Eglise, signe du salut et don de Dieu aux hommes. Concrètement, nous ne pouvons pas ne pas constater aussi que certaines décisions et pratiques récentes de l'Eglise réformée de France contredisent l'orientation actuelle des documents oecuméniques sur la doctrine des ministères. Des questions pressantes avaient été posées dans ces domaines par Mgr LE BOURGEOIS, lors de son intervention à l'Assemblée du protestantisme français (*). Elles n'ont pas reçu jusqu'à ce jour de réponse autorisée (**).
- Note (*) ("Première question: Quelle est donc actuellement la consistance de la doctrine proposée par certaines Eglises de la Réforme en France? ... Deuxième question: Quelle est la conviction protestante en 1975 sur l'Eglise? ... Troisième question: Quelle est la volonté oecuménique réelle du protestantisme français? ... A l'interpellation protestante concernant l'hospitalité eucharistique, des instances catholiques compétentes répondent de plus en plus fréquemment par des gestes d'ouverture, tout en faisant valoir la question de foi qui est pour nous, comme pour nos frères orthodoxes, la raison fondamentale de notre position et de notre réserve en ce domaine. Entendez-vous cette question? Vous ne pouvez faire comme si des gestes d'ouverture entérinaient purement et simplement vos propres positions doctrinales et disciplinaires" (8.11.1975, cf. D.C., n. 1687, 1975, p. 1028-1029)
- (**) (On n'oublie pas que cette note fut écrite et publiée en mars 1983. Le texte de notre commission du 22.2.1994 fait allusion aux progrès accomplis depuis lors (cf. par exemple, p. 38)

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- 4. Parce que la multiplication des hospitalités eucharistiques donnerait à penser que les problèmes posés pour l'unité de l'Eglise sont déjà résolus et que le statu quo confessionnel actuel est une forme valable de l'unité telle que le Seigneur la désire. Une telle multiplication relâcherait les liens de foi et de solidarité de chaque fidèle avec sa propre Eglise. Elle constituerait une solution de facilité qui ne ferait pas progresser la marche vers l'unité (*).

- (*) (Nous employons ici l'expression d'"hospitalité eucharistique" qui appartient au vocabulaire reçu, mais qui n'est pas sans ambiguïté. Car, en l'occurrence, l'impossibilité d'accorder cette "hospitalité" ne saurait être comprise comme un manque de charité ou le refus d'accueillir ses frères)

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A quelles conditions cependant certains cas exceptionnels

d'hospitalité eucharistique peuvent-ils être envisagés?

- 1. Etant donné ce qui vient d'être dit, seuls des cas exceptionnels d'hospitalité eucharistique peuvent être envisagés dans la situation actuelle de division avec les Eglises de la Réforme. Pour qu'ils soient vécus dans la vérité comme des "moyens de grâce" UR 8 et pour qu'ils contribuent à faire l'Eglise une, plusieurs conditions sont à respecter, selon le discernement exercé par le Directoire des questions oecuméniques et les autres documents qui font autorité dans toute l'Eglise catholique (*).

(*) - (Cf. UR 8 Secrétariat pour l'unité des chrétiens, "Directoire pour l'exécution de ce que le Deuxième concile du Vatican a promulgué concernant l'oecuménisme", D.C. n. 1196, 1967, p. 1074-1090; "Note du Secrétariat pour l'unité des chrétiens sur l'application du Directoire oecuménique", D.C. n. 1527, 1968, p. 1860-1861; "Déclaration sur la position de l'Eglise catholique en matière d'eucharistie commune entre chrétiens de différentes confessions", D.C. n. 1556, 1970, p. 113-115; "Instruction sur les cas d'admission des autres chrétiens à la communion eucharistique dans l'Eglise catholique",D.C. n. 1614, 1972, p. 708-711; "Note sur certaines interprétations de l'instruction sur les cas particuliers d'admission des autres chrétiens à la communion eucharistique dans l'Eglise catholique", D.C. n. 1643, 1973, p. 1005-1006. En 1994, il faudrait évidemment ajouter à ces références toutes celles des dix années écoulées qu'évoque la nouvelle édition du Directoire qui est l'objet de ces pages)

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- 2. Dans le cas où des prêtres et des fidèles catholiques accueillent des frères protestants à la table eucharistique, une hospitalité authentique suppose de la part de ces derniers un "réel besoin" (6. Cf. l'intervention du cardinal WILLEBRANDS au Synode des évêques sur la famille, D.C. n. 1795, 1980, p. 1002) ou un désir spirituel éprouvé des liens de communion fraternelle profonds et continus avec des catholiques (tels qu'ils sont vécus dans certains foyers mixtes et dans quelques groupes oecuméniques durables), une foi sans ambiguïté quant à la dimension sacrificielle du mémorial, quant à la présence réelle et à la relation entre communion eucharistique et communion ecclésiale, enfin un engagement actif au service de l'unité que Dieu veut.

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- 3. La décision qui sera prise en conscience doit avoir été soumise au discernement de l'évêque, responsable du ministère de l'unité (ou des prêtres délégués par lui pour les relations oecuméniques et à qui il aura confié ce discernement en collaboration avec lui). Elle doit veiller à ne pas provoquer le scandale ni même l'étonnement chez ceux qui en seront normalement les témoins.

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- 4. Au nom de la dynamique oecuménique de réciprocité, la communion des fidèles catholiques à la Sainte Cène protestante est aujourd'hui l'objet de demandes pressantes, en particulier chez les foyers mixtes. Une telle démarche, redisons-le, ne correspond pas, pour les catholiques, au lien qu'ils confessent entre eucharistie et communion ecclésiale. Elle préjuge aussi de la compréhension commune du ministère ordonné. De plus, pour l'Eglise catholique, la forme plénière du ministère ecclésial fait défaut au ministre protestant qui préside (En termes techniques, UR 22 parle de defectus ordinis. On se référera avec intérêt à la compréhension de cette expression donnée par "le ministère dans l'Eglise", rapport de la Commission mixte catholique romaine, Evangélique luthérienne, n. 76-77, D.C. n. 1829, 1982, p. 471).

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- 5. Nous constatons cependant qu'un certain nombre de catholiques estiment pouvoir communier à la Sainte Cène protestante, que ces cas ont tendance à se multiplier et que l'opinion se fait jour de les considérer comme normaux. Nous ne pouvons pas ne pas rappeler que cette évolution est objectivement contraire aux dispositions actuellement en vigueur dans l'Eglise catholique, dont le fondement est d'ordre doctrinal. La multiplication de ces cas fait également grandir le risque qu'ils soient interprétés par les communautés protestantes non comme le désir de participer à une réalité de grâce qui est le secret de Dieu, mais comme la reconnaissance de fait de la pleine sacramentalité de leur célébration.

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- 6. Aux catholiques qui estimeraient toujours en conscience pouvoir communier à la Sainte Cène, nous disons donc ce que les évêques allemands ont dit à leurs fidèles sur ce même point: "Le Synode ne peut pas actuellement approuver la participation d'un catholique à la Sainte Cène. Il ne peut être exclu qu'un catholique - suivant sa propre conscience - puisse trouver, dans la situation particulière qui est la sienne, des raisons qui lui font apparaître sa participation à la Sainte Cène comme spirituellement nécessaire. Il devrait alors penser qu'une telle participation ne correspond pas au lien entre Eucharistie et communion ecclésiale, particulièrement pour ce qui concerne la compréhension du ministère. S'agissant de la décision qu'il sera amené à prendre, il ne devra pas mettre en péril son appartenance à sa propre Eglise et sa décision ne devra pas non plus équivaloir à un reniement de sa propre foi et de sa propre église, pas plus qu'elle ne devra apparaître ainsi aux yeux d'autrui". (Synode des diocèses allemands de Wurtzbourg, 1976, n. 5. 5 du texte sur le culte)

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- 7. Nous sommes conscients que ces orientations pourront blesser ou choquer. Nous partageons nous-mêmes la souffrance de ne pouvoir communier ensemble à l'eucharistie. Mais nous demandons à tous ceux que cette note concerne de s'interroger eux-mêmes. Ces orientations prennent en compte les problèmes de fond tels qu'ils se posent aujourd'hui: elles n'entendent pas être définitives. Mais l'évolution que nous espérons de ces positions dépendra pour une part de la manière dont les Eglises issues de la Réforme recevront les questions que nous avons rappelées ici. Nous avons à vivre en ce domaine crucial une émulation spirituelle qui nous permette de nous ouvrir les uns et les autres, et les uns par les autres, à toutes les exigences de l'Evangile.



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Table des matières du Directoire de 1993

Présentation à la presse, par le cardinal Edward I. CASSIDY.
Applications pour l'Eglise catholique en France

DIRECTOIRE POUR L'APPLICATION DES PRINCIPES
ET DES NORMES SUR L'OECUMENISME
Préface
Raisons de cette révision
Destinataires du Directoire
But du Directoire
Plan du Directoire

I. La recherche de l'unité des chrétiens
L'Eglise et son unité dans le plan de Dieu
L'Eglise en tant que communion
Les divisions entre chrétiens et le rétablissement de l'unité
L'oecuménisme dans la vie des chrétiens
Les différents niveaux de l'action oecuménique
Complexité et diversité de la situation oecuménique
Les sectes et les nouveaux mouvements religieux

II L'organisation dans l'Eglise catholique du service de l'unité des chrétiens
Introduction
Le délégué diocésain pour l'oecuménisme
La commission ou le secrétariat oecuménique d'un diocèse
La Commission oecuménique des synodes des Eglises orientales catholiques et des conférences épiscopales
Structures oecuméniques dans d'autres contextes ecclésiaux
Instituts de vie consacrée et sociétés de vie apostolique
Organisations de fidèles
Le Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens

III. La formation à l'oecuménisme dans l'Eglise catholique
Nécessité et finalité de la formation oecuménique
Adaptation de la formation aux situations concrètes des personnes
A. Formation de tous les fidèles
Les moyens de formation
Les milieux propices à la formation
B. Formation de ceux qui travaillent dans le ministère pastoral
1. Ministres ordonnés
a) La formation doctrinale
a-1) La dimension oecuménique des diverses matières
a-2) Dimension oecuménique des disciplines théologiques en général
a-3) Dimension oecuménique des disciplines théologiques en particulier
a-4) Cours spécial d'oecuménisme
b) Expérience oecuménique
2. Ministres et collaborateurs non ordonnés
a) Formation doctrinale
b) Expérience oecuménique
C. Formation spécialisée
Rôle des facultés ecclésiastiques
Rôle des universités catholiques
Rôle des instituts oecuméniques spécialisés
D. Formation permanente

IV. Communion de vie et d'activité spirituelle parmi les baptisés
A. Le sacrement du baptême
B. Partage d'activités et de ressources spirituelles
Principes généraux
Prière en commun
Partage de la liturgie non sacramentelle
Partage de vie sacramentelle, spécialement de l'Eucharistie
a) Partage de vie sacramentelle avec les membres des différentes Eglises orientales
b) Partage de vie sacramentelle avec les chrétiens d'autres Eglises et communautés ecclésiales
Partage d'autres ressources pour la vie et l'activité spirituelle
C. Mariages mixtes

V. Collaboration oecuménique, dialogue et témoignage commun
Formes et structures de la collaboration oecuménique
Conseils d'Eglises et conseils chrétiens
Le dialogue oecuménique
Le travail commun concernant la Bible
Textes liturgiques communs
La collaboration oecuménique dans le domaine de la catéchèse
La collaboration dans des instituts d'enseignement supérieur
Dans les séminaires et au premier cycle
Dans les instituts supérieurs et de recherche théologique
La collaboration pastorale dans des situations particulières
La collaboration dans l'activité missionnaire
La collaboration oecuménique dans le dialogue avec d'autres religions
La collaboration oecuménique dans la vie sociale et culturelle
a) La collaboration dans l'étude commune des questions sociales et éthiques
b) La collaboration dans le domaine du développement, des besoins humains et de la sauvegarde de la création
c) La collaboration dans le domaine de la médecine
d) La collaboration dans les médias

ANNEXES

Annexe 1. - Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'oecuménisme (note de la Commission épiscopale française pour l'unité des chrétiens, 14.6.1993)
Annexe 2. - L'hospitalité eucharistique avec les chrétiens des Eglises issues de la Réforme en France (note de la Commission épiscopale pour l'unité des chrétiens aux prêtres et aux fidèles catholiques, 14.3.1983)




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